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suicide toi mon fils [ d i v ]
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22 mars 2008

TRANSGRESSION DES GOURMANDISES

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DSCN1935

[le verbe d'existence est un exposant temporel qui fonctionne avec l'auxiliaire être] [r t/r b]





















palpe parle moi parlons plus bas palpe moi un peu plus bas un peu de ta langue un peu de ta bave dans un petit coin au-dessus des épaules mais ne réveillons pas l’enfant qui peint en vous surtout pas ne calculons pas le trait primitif calmement posé étiré souple et pluvieux des modèles vivants si je meurs exprès à côté d’un trait rouge derrière le cou contorsionné entre de la peinture grise et une façon blanche de marcher debout dans la terre meuble dans le socle doux car effleurer monter reconnaître en croix la maison qui rend fou comme une espèce d’émotion à renvoyer sur deux à 6 étages dans l’arbre droit dans la parole de l’eau rattraper à temps un nid dans le mouchoir ouvert d’un enfant qui fonce autour du cercle petit moyen grand carré rectangle carrément flou il ne m’entend pas il est tard il est tant de libérer ses angoisses sa rage et sa réserve d’indiens éparpillé sur le sol avec des couleurs chatoyantes rejaillies comme un point et ligne sur blanc il est bleu soleil nuit le nid dans nos mains les bras le long du corps pendent dans le lait en haut à droite quelque chose encore de lourd et de chaud de solide de comestible flotte à la surface pour manger un cercle jaune et orangé qui n’est pas un citron ni un demi cercle quand on le presse directement descendu vers le haut quand on le change de place de couleur n’est-ce pas un nid ? il cherche le haut des branches n’est-ce pas ? l’œil ou la main qui glissent dedans entrelacés sur en-dessous pour ne faire qu’un ensemble de briques la même année la forme principale des masses colorées présentes monochromes pour que nous cherchions toujours un trait devant la fenêtre un tout petit carreau de mosaïque identique au reste de la maison pour que le temps passe un peu plus vite sur nous pour que l’air soit encore plus frais entre la soie dispensée de tout graphisme de toute union et de tout attachement mais ce n’est grave qu’égal une lumière à reculons dans son infini structure mentale régularisée recommencée mainte fois 100 fois remodelés repasse et fasse double ou carré ou contre emploi ça doit être ça marcher sur la mer prendre et se défaire dans une nage à plat dans ce long tube aspirant recréer une nouvelle définition des métaux du corps l’os et la chair la ruée vers l’or le corps en avant dans un dédale de mots à plat quand ce n’est pas le détachement d’un cri trié cardiaque et + c’est un signe fort c’est un silence qui n’a pas été fini qui continu vers le bas qui tombe et glisse et n carrés jaunes-rouges-bleus sont un rectangle jaune qui occupent 13% de la toile il faut du sable et du mortier pour finir le corps de l’éléphant tigre à l’ivoire mural et fine qu’est-ce que c’est que le rythme démontré qu’est-ce qui descend finalement plus bas qu’un corps une parole une amanite une position sur le dos dans la nage acrylique des couleurs en action gestuellement chlorées dissoutes non seulement des formes des jeux des jeux de dada proche dans la tour d’ivoire penchée en attendant que le ciel monte et décède dans un accident de voiture en Allemagne j’accorde un dernier bateau disparu plus d’une demie seconde pour revenir intact sur la plage quelque soit la taille des carrés approchés dans une grille chaude très vivante j’accroche la couleur bleue l’immobilité totale j’approche un doigt de pied dans un tube de ciel donné à un pouce dans une large mesure j’accroche un mât derrière la vague je souffle dedans dessus à contre courant l’ai-je vu comme une action primale nager vers-moi dans 700 dessins en forme d’étoile la coulée de peinture l’ai-je bien descendu la pente à la rambarde la main dessus ok j’avais du sable collé sous la semelle un dictionnaire hébreux arabe caucasien pour retrouver la voix juste et magnétique des voix disparues que je peints graphiquement en 3D la croix sans la croix autour du cou pour y mettre de la couleur verte sur le cheveu dégoulinant de sueur sous la jambe non abîmée encore l’orangée le violet le quatrième parce que je nie l’accident des couleurs entre elles pardonnées de toute mes forces cela n’a pas existé dans un nid le troisième grand contraste géométrique l’œil pour avancer je vois la foule d’un trait nerveux sec et froid cette multitude de peaux en petite dimension précise et imprécise dedans les différent pères où un poisson frétille dans des filets de mousses techniques étant inimitable et seule la peinture noire occupe 36% de la surface d’un carré purement physique bavons dedans cramponnons-nous à l’escalier qui monte ou redescend l’hélice pas propre pas nettoyée avec son goût batifolé de sucre et de viande hachée parce qu’un soleil va apparaître bientôt à la page deux rythmée toutes les 3 secondes comme la paupière de l’œil sa toile sûrement la numéro 6 à gauche va prendre feu ça va vite une feuille de salade entre les dents je conduis toujours de la main gauche une main est posée sur la barre de direction nettement ensoleillé hier soir que la moitié de l’autre écroulé pan quand je tenais le manche à pâle où pour foncer droit dans la mère je peints mon enfant de façon mystérieuse je peints quelque chose de solide et de fragile à la fois et de divisé en deux la vie est en trois morts trois panneaux quand l’ange a disparu quelque part en mer figurative quelque part ici la mort n’est pas donné gratuitement c’est un long travail de mousse et d’approximation contemplative pour ça pour oublier l’athlétisme le long d’un couloir bleu à tenir à la corde sur 400 mètres je nageais très longtemps dans une couleur qui n’avait pas la chance d’être un lieu mais une expression corporelle sûre et peu sûre et peu évidente à la fois sortir du ventre de ma mère se laver la bouche avec du nylon propre et entraîné ranger des petites boites dans un rond bleu après le coït au ventre rectiligne presque animal du corps dans l’autre corps entre une femme et une autre femme enfant dans un train corail sous un tunnel de terre bleu et d’acier rouge à 57 kilomètres heures secondes minutes le temps de poser le rectangle étudié au cœur des mathématiques sales et d’un ciel rouge en bas de page pour respirer la colophane et prédire le passé le bleu n’agit pas comme un silence profond et absolu c’est le blanc qui semble se rapprocher de nous

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