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suicide toi mon fils [ d i v ]
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1 novembre 2008

le tour du monde

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la vie est une petite pute, notez ceci quelque part, sur le canon scié, dans le pacifique, dos au reglisse dur, sur votre bras, face aux poissons chats qui s'envolent jusqu'au bout, même pas, dans le carnet de la petite fille, un petit coeur mal dessiné, ils sont masqués les marques avec du fond de teint, la mer est bleue dans une coupe aux lèvres, la piste 12, elle fait un drôle de bruit la mer ce matin dans le rétro, vous ne trouvez pas, approchez vous et mettez votre bras dans le vêtement de la jeune anorexique, mon amour, finalement



le chemin gras tout en nuance



quel est le véritable moyen, il faut sortir de là, il faut aussi que je vous parle, de tous ces endroits là, mixés, où l'on se cogne sans rien sentir





quel est le véritable moyen, un chemin presque fait, mais la distance ne compte pas, aujourd'hui l'affaire est moins sérieuse, après je vous raconterais la désinvolture des fosses où l'on glisse, que ça n'existe pas, bien sûr, et tout et tout, du corps qui fond, de la petite fille qui a trop de cheveux et qui achève sa voix dedans, les petits rires timides au matin et un rien dans l'oeil quand le soleil s'étend, chevelure taillée, et quelques oeufs, de la pulpe au fond d'un verre, un pochoir à la place d'un gant pour la figure, du savon bleu, la fille idéale des années 2 000, effacez moi de votre bulle, et taisez-vous



 

eve debout, un recueil à la main dans la pourriture des fruits, une belle brune tout en jambe, les yeux bleus, nue sous un long pull, elle était magnifique assise hier, comme ça, dans la longue vue dans le shooting, une fois sur place, écarte les jambes face à un grand miroir, chantonne quelque chose de glacée, les écorchés, le fleuve, vladimir maïakovski à l'arrière des taxis, paix en suisse je répète paix en suisse, j'ai bien aimé ta paire de claque, 6 fois dans la muqueuse refaite, bertrand cantat, serge teysso gay, one trip one noice, pendant que le corps se re-décompose sous des fleurs neuves et du papier





le reflet de ses désirs et l'histoire des corps tendus, noirs dans la chambre, autrefois rouge, le tour du monde de la géographie déconstruite et des formes parallèles qu'on dessine encore un peu dans l'espace, [ in ] extenso, machin chouette, elle s'occupe les mains quand je ne la regarde pas, se laisse faire, place ses petits doigts minuscules dans un séquenceur, notez tout, collez ça et ne perdez rien, je me suis épillée les cuisses pour vous tout à l'heure quand vous aviez la tête penchée, regardez mes mains lisses avant qu'il ne soit trop tard, regardez mes petits bras se faire moudre dans l'air, j'ai tout perdu notez tout ça quelque part, écrivez le, dessinez mon sang et les flaques que ça fait, j'ai tout perdu, notez tout ça quelque part, j'ai tout perdu pour investir le réel





et cet écran bleu





j'ai tout perdu et vous ne me croyez même pas





ici la trace et les bateaux du tour du monde, les multicoques suivis à la trace, une chaise pour 2 mais on pouvait s'y asseoir quand même, dans son bustier turquoise et vert, des insectes à 3 couleurs glissent sur une crème qui sent encore bon quand elle est dans la marque, comme ils disent mais je ne les crois plus, non je ne vous dirais plus rien, sous les néons durs, la main dans le ventre marron, ce fut une expérience très difficile, je sais





j'ai roulé toute la nuit, dos au public, face au mur, mauve, nu dans vos mains, je suis incapable de faire ce qu'elle a fait de répéter ce qu'elle a dit, nue dans un carnet de petite fille et elle dans ses draps avec un casque sur la tête, dans la bulle badigeonnée au bord de la sonde, je vous reconnez, vous avez les dents noirs, la terre molle et moi je suis le singe tarzan, j'aimerais renverser ça, prendre le thé et feuilleter d'autres magazines, la vénus à la fourrure, et quelque écrit techno porno gratuit, l'index câlin, le sein pointu, la grosse touffe, le sexe mort à Ossa, l'aisselle de vos derniers dessins sur vos derniers restes, est-ce bien nous avec eux qui avont choissi ça, les photos en noir&blanc, les beaux contours les beaux contrastes, de toute façon il faut quitter le terrain d'une manière ou d'une autre, c'est là-bas, pointez du doigts, les éléments indispensables, et c'est vert quand la mort est retournée, en-dessous





et c'est vraiment déguelasse





no sex last night, je veux mettre un terme regrettable à tout ça, le tour du monde et les beaux looping, on y croise des portrait bizarres, et des petits sacs en plastique pour faire les courses, les images ratées ça doit servir quand même à quelque chose, non, des corps qu'on ramène, des corps qu'on entremèle même pas à l'endroit, il y avait aussi un pochoir à tag, un mur pas droit à l'endroit même tout à l'heure avant la dernière éclaircie qui a secoué le mur, l'école des beaux-arts, le soleil minuscule, la rue qui remonte derrière les toits, la peluche au micro onde, des arbres dans la grande allée, des fleurs peut-être aussi qu'on espère recevoir, sur un banc à genoux, et le savoir faire et le savoir aimer en 20 000 exemplaires, qui sait avec des lunettes de soleil sur la tête pour ne plus rien voir





c'est ici que je me suis assise, et j'attends que le train passe, c'est ici que je me suis perdue, beaucoup trop longtemps, mes pages difficile à écrire à cause du vent, mes pas trop près du bord quand j'en n'étais pas capable, quitter le terrain pêle-mêle, quitter le pouls des conversations, le frotter avec mes doigts ce portrait d'une manière ou d'une autre, la photo des parents, quelqu'un vous regarde et vous tire dessus, baissez votre tête avant qu'il ne soit trop tard, le tour du monde, des hommes et des femmes, le tour du monde, des enfants qu'on ouvre en 2, le tour du monde dans les mains, et même si s'est pas vrai, et même si vous avez du mal à me répondre et à me croire, et même si vous trouvez ça pas juste, les blouses blanches feront le reste dans la pièce restangulaire, blanche, monnaies monnaies, dégueulez après moi dans ce tube avec les autres médicaments bien rangés, madame, et comptez les plus roses et l'élégance d'un signe qui nage





je connais jusqu'au bout la maladie de marie louise, et les 14 chapitres expéditifs, où en suis-je avec moi même, où en suis-je, personne quand on m'appelle, il est 19heures02, une drôle de compil collée aux murs remixant des musiques électroniques, off je dis off au fond de la salle, ma voix qu'elle aurait vendu peut-être à d'autre, ma sale gueule pochée dans l'oeuf sur les photos ratées, mes avants bras dans les sales préparatifs, un enfant blond dans le miroir de samantha, au rétro, un vélo me double, je connais ce visage, un miroir arc en ciel qui ne retient plus aucunes distances, papier volant, des noeuds défilent, j'ai roulé toute la nuit, bouche ouverte sur ton corps, excellente chatte, seins pointus, comme tout à l'heure, c'était hier, avec ses papillons d'ailes, un bref passage, à la regarder papillonner dans son bustier, turquoise et vert, refondre et mordre, quand l'incroyable liste devant nous s'allonge, une jeune femme qui ne demandait rien à personne, c'était déjà le début de quelque chose, non, provocante et drôle, finalement







vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'avez pas de nouveaux messages vous n'av

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