. . . . . SALLE 9 . . . ;;;;;;;;;;Tu m’écrases

.

.

.

.

.

SALLE 9

.

.

.

;;;;;;;;;;Tu m’écrases les couilles avec ton geste travaillé au corps quand tu es comme ça tu me fais peur c’est salé passablement amer un homme en train de manger ses mains thermales en tirant sur la boucle je pense à toi je t’écris dans une salle comble avec des ongles sales tu aimes ou non toutes mes caresses quand je te frappe à découvert le sens tu dans le corps le million de jour n -1 pour apprendre à nager j’ai voulu me parler sa bouche était mince la minceur de la bouche était fraîche où chaque angle est une infrastructure une chambre d’époque un trait à ne pas dépasser une mémoire pour rester debout tu m’as cassé la lèvre un langage un corps pendant que mes dents tombaient ça t’évoquait de la pluie à travers un hublot ou ta petite enfance en bas dans le froid je cherche un jardin minéral avec des grandes oreilles un lapin désemparé dans la campagne je baise une fois sur 12 sur le dos pour tuer mon propre enfant poreux j’entends des trains passés je lève un passage à niveau où je peux pleurer dans tes bras pour tester toute mon obéissance à perdre qui je suis je suis prêt à mourir pour la volonté des dieux pour l’opéra du monde pour la malédiction des pharaons pour le choix du christ et pour toute la ville morte.

.

.

.

.

.