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suicide toi mon fils [ d i v ]
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29 septembre 2009

; ; ; ; ; ; ; ; ; ; usine à merde, écrivain, t’as

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usine à merde, écrivain, t’as vu ça où, dans la page d’accueil, dans ton gèle, en haut à droite, espèce de jogger du dimanche et du mardi, toute la semaine, même s’il le faut, plus rien de comestible, je mâche ses ventres, et deviens verre comme du cheveu, 152 dents dans le total TTC de la pluie et du soleil, et puis plus rien, vous cochez dans la bonne case, sinon c’est tout un ensemble de mots qui dégoulinent et qui s’en va, après le 4 septembre, dans la bonne base, vous savez moi, j’en ai à dire des choses et des choses, je bouffe debout, pour gagner du temps, de la table à ici, je me vois encore dans la cuisine partir avec ce truc sale dans les mains, l’encoche et le, fœtus de ma mère quand j’étais à cheval sur la table de dissection, c’est moi qui n’en menait pas large, et le cancer et le ventre dans la bouche pour vomir mes doigts pendant l’ultime explication du bien se tenir droit pour bien faire glisser, et tout et tout, mais je ne vous donnerais pas plus de détail, à venir, je préfère faire confiance à la vie, moi les morts m’en foutent plein la tronche, de leur soit disant maladie, j’avais quelque chose dans la gorge, à te dire, une épine dorsale, le moule martelé d’une nuit sans rêves et sans étoiles, j’écris peu, j’écris pour enlever de la peau mal coté en bourse, mais le suicide intrangisant de mes pensées a interrompu mon sommeil en plein jour, j’emporte avec moi le toit et la porte de ma chambre, au mur, une courroie pour m’envoler, je souffle dedans, il est l’heure de détruire quelque tableau, de chasse, il est évidement pour moi et je suis en train de le comprendre, l’amour est une eau de source un moteur une balle dans la nuque ou quelque chose comme ça, c’est très violent, ça se répercute, la peau s’annule et se refait, ça va venir, comme une chaine de vélo un cardan, dis-moi ce que c’était, tout à l’heure dans l’œil, un vendredi, une mouche, il est très exactement 14 heures quinze, et mon téléphone sonne dans ma blouse, c’est dieu, je le reconnais immédiatement, à sa voix, à son discours, à ce qu’il me dit, voilà, il faut que je me traine jusqu’à moi, traineau bague blonde et stérilet, tuer l’enfant qui bouffe toujours debout pour gagner du temps, il faut les factures et les modifications faites, aux fausses factures, bousiller le temps, j’ai soufflé 42 bougies, hier matin dans du gâteau, pas frais, pour dégueuler, mon soi-disant rien, c’est la dernière chose que tu verras.

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