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suicide toi mon fils [ d i v ]
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6 novembre 2009

; ; ; ; ; ; ; ; LIVRET RELIGIEUX de la Famille

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LIVRET RELIGIEUX de la Famille Chrétienne

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Ce matin je me suis levée vers 5 heures, 30, j’ai raté ma vie, il faisait encore nuit, je suis un con. C’est la dernière phrase du bouquin que j’ai lu, avant lui, tu descends, c’est presque là, la salle de sport, à la fois physique et féminin, c’est dans 45 minutes qu’il fera le plus chaud, à l’avant du bateau, sur le fer, de la tête aux pieds. On s’en fout. De se casser la gueule dans l’escalier, et si ça me fait du bien à moi. Alors. Tu écris.

Pas vous. Violent. J’ai toujours l’impression d’avoir raté ma sexualité.

J'ai laissé la lampe de chevet allumée dans la chambre, je laisse faire, les ombres, le lapin, très très active, aujourd’hui, 3 fois pas jour, je souffre d’absence, chronique, un coup d’œil, je me trouve à l’arrière, sur la photo, c’est moi qui tire la langue, j’ai rien bouffé depuis trente jours, j’ai les dents mâchées, pleines d’herbes folles et de racines, avec une pièce de théâtre, posée sur les genoux, que je dois apprendre par cœur, pour des trains corail pour du vent, pour des sommations que je n’entends plus, il me faut des piles pour mon koala en mousse, quatre cinq livres sur l’étagère de droite, un poste de radio, un fond rouge, je suis descendue au ré de chaussée, je n’ai pas beaucoup d’amis, dans la nouvelle ville, moderne, c’est énorme comme chiffre, la lettre 13, pour mettre en veille, ça viendra ou ça viendra pas, la lumière. Donner du plaisir ? Aux hommes ? Qui me pénètrent ?

Avec des masques de chien des bottes en cuir. Et le cheval qui tombent, en bois.

Dans la cuisine, j’ai des biscottes un frigo de la viande, j'ai mis de l'eau à chauffer dans la bouilloire, je vous assure que c’est vrai, j’ai fermé à clé, des nuits blanches, du sable et du sable, devant la porte, c’était très sensuel de sentir ça glisser entre les doigts, tirés, le contact de la peau de tes lèvres de ton corps de tes silences aussi : je me laisse faire je me laisse aller à des pièges, les ustensiles froids, ton corps, et le métal, je t’ouvre toutes les jambes avec, je t’ouvre tous les muscles par ordre chronologique, je compte avec, puis je me suis fait un thé pour pouvoir faire de la balançoire nue, dans des chambres. Il faut tenir. Ne rien lâcher.

TENIR. Encore. Avec de la douceur. Il a dit.

Je suis le seuil de ta structure mentale. Je suis une feuille de papier à dessin, tu peux m’écrire dessus, ma condition de mort, les longs voyages, je dicterais tout, ton eau sa cicatrice, ton nerf qui me fait mal.

A l’aplomb. Dans la cuisse. Je n’ai pas su trouver les réponses.

J’ai beaucoup de problème avec ça dans mon métier ça sent mauvais ils puent de la gueule à longueur de journée, elle en a vu de toutes les couleurs avec moi, je t’huile sur la peau des passages et des re passages, d’huiles essentielles, avec des poils de chat et du gravier. Mais je sais pas, je sais où j’ai rangé la corde. Les + et les moins, sur les cosses, pour réactiver le bonheur et la circulation du sang.

Je laisse tomber

Bah ouais, je prends des médicaments. Sécables. Car manger à jeun me fait mal à la gorge. Sécables, roses et bleus détachables par rangés de 10, ils sont comme ça dans une belle boite blanche tous les médicaments, je fais dans la nature – j’aime bien. Grosse conne qu’il me dit- tourne toi dans le sens des aiguilles d’une montre, je me suis brûlée je suis le monde entier y a du monde sur la plage, l’eau a complètement déchiquetée mon beau château de sable, mais j’ai trouvé ta dernière dent incrustée dans la nuque quand nous étions trois, je repassais en tête j’étais une fille très obéissante. Super belle, salope et pute entre tes ongles,

C’est très troublant comme phénomène, les arbres. C’est la sexualité masculine qui est la plus troublante dans les loges j’ai découvert mon organisme et la principale cause de mes infections, j’ai mis ma vie en danger à quatre vingt mètres du but loin de l’obstacle j’ai vrillé j’étais verte j’aurai pu me faire du bien. J'ai glandé pendant environ une heure et demie. Je suis le truc, c’est un exercice très difficile, d’être le truc de quelqu’un, je parle pas couramment, cinq ans de trapèze j’ai une épaule cassée j’ai fait un rêve troublant. On voit souvent des portes et des portes et je pouvais hurler. Qu’un trapèze ça parle pas, ça vous emmène très très loin, dans les airs dans les airs, ça dépend de l’altitude de la couleur des toits des maisons.

Vers 7 heures, il faisait jour, le ciel était menaçant, il me sent l’anus ou quelque chose comme ça, entre l’os et la pommette, un vrai petit bijou, un beau petit caillou dans la main droite, pour écrire. Je prends mon élan. Alors je suis montée me recoucher, dans de la nourriture quelque chose de blanc, des douleurs abdominales. Le ventre, la tombe, des choses avec un fond blanc, dans l’œil, toujours la même image, un cheval blanc, ou marron. Sur une plage. Déserte ? Et ocre.

Tout doit disparaître.

Je me suis réveillée, il était 12h30 je suis le frère de Clémentine trente cinq jours par an le nez comme un boxeur ils m’opèrent ce soir, j’ai maigri je bouffe un peu un bouffe pas je joue avec ma merde y a des lettres dedans. Je me suis refait un thé pour pouvoir fumer et j'ai mangé une tartine de pain grillé avec de la confiture d'abricot pleine de charme et très coulante entre les jambes, comme une dent cassée un beau jardin un beau soleil dans la chambre un bon dessert ne se partage pas si facilement que ça. Je ne me suis pas beaucoup lavée, je me suis habillée, brossé les dents, la peau toute neuve de mes nouveaux visages pleins de couleurs. Des caisses et des caisses. Un peu de salive et ça nettoie : tout. Les belles choses n’existent pas, que dans les livres… Elle était très pubère ma sœur je me suis défendu, avec les moyens du bord, maquillée un peu et je suis partie me promener. Parfois je perds ma valise dans des avions des aéroports. Dix kilomètres en voiture… de plage de sable fin. De laps de temps très court.

Qu’est-ce que c’est que le désir ?

Maintenant je suis là sur internet à raconter ma vie parce-que c'est très intéressant. D’avoir un corps. Ca sort de l'ordinaire du frigo. Parfois je mange, un dessert, et après de la viande, j’ai un frigo des biscotes, et un lit pour une ou deux personnes, parfois je bois, jamais je travaille, parfois je perds du sang, une tâche un peu plus petite qu’un cœur de bouton d’or, comme de la rosée sur des fleurs très orangées, période palpitante et très dure, parfois je pisse, parfois je chie. Mais tout ça reste logique ça serait trop simple, sinon, jamais je baise avec toi avec un truc rose posé sur la tête et les épaules pour ne pas avoir froid, parfois je me masturbe, dedans torsadé. Mourir et je lance un cercle dans un carré : résultat je ne vois plus rien du tout, c’est flouté, y a plus de marquage au sol… c’est extraordinairement lent la chute le vent la crème sur les épaules. Je ne comprends pas toujours tout ce qui se passe autour de moi. Allons jusqu’au bout…Je vais détruire tout ça je suis obligée de mettre un terme à des closes bien palpables, des chaussettes 10 zéro neuf. 55 ; je suis obsédée par les odeurs corporelles il faut tout dire. Parfois j'écris mais vraiment, parfois je tonds la pelouse, parfois j'achète un paquet de clopes, parfois je vais chez le médecin, parfois j'achète à manger, c'est extraordinaire bien foutu tout ça, c’est la peau au final qui mangera les fils, Ce n’est pas pareil, j’en n’ai rien à foutre d’être père ou d’être dans un fœtus . Je marche sur une culotte marron je suis pieds nus avec des béquilles. Je t’emmerde, c’est comme tu veux : j’ai mis un doigt dans le trou du cul de ta peluche préférée et ça sent la merde. Et après on a joué au badminton.

Et je me suis pendu. Fin de l’exercice.

Fin.

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