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suicide toi mon fils [ d i v ]
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5 février 2010

Ces trois plagiats de div sont vraiment nuls

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comme une fusée

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Oui il me semble que je suis bien rentré après mais j'étais tout bizarre je manquai d'eau dans la bouche j'avais encore un peu faim et puis je pensais aux conséquences à ce poids comme tu disais autour de moi les routes étaient trop grandes trop larges j'avais les ongles et l'extrémité des doigts qui sentaient ton corps mélangé avec l'odeur du chocolat et de la noix de coco sur le retour j'ai senti plusieurs fois le bout de ma main droite pour ne pas me détacher de toi si facilement et tout de suite après j'ai dormi dans le séjour avec la télévision allumée sans avoir mis le son j'ai relu quelques trucs je n'étais pas totalement bien concentré je me suis lavé les mains vers onze heures du matin.

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simple passant

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A mon tour aussi de trouver le sommeil de nager en eau trouble d’avoir le contrôle sur mon corps mon corps qui n’en demandait pas temps que ça d’ailleurs d’être dans de l’eau c’est quand même fort extrêmement puissant d’être propulsé comme ça en avant je sais c’est difficile de respirer quand on est dans une petite boite juste avant le départ on lâche les chevaux c’est malléable les chevaux je te l’avais dit ça va dans tous les sens et c’est ultra puissant de sentir ça dans les bras dans  le cou dans tous les membres on croit rêver on se cramponne on devient sourd on glisse on a peur de tomber sur une bosse ou sur un morceau de ferraille car le terrain est grand on l’a vu 100 fois défiler devant nous le même terrain en friche derrière la maison qui tremble à chaque fois qu’un train passe on a mal dans les jambes aux oreilles au palais à la tête dans l’arrière salle on croit qu’on va mourir qu’on va nous appeler car la douleur est trop forte elle devient insupportable cette douleur elle est partout elle fait son chemin dans la peau elle n’oublie aucun millimètre de peau quand elle entre et quand elle s’installe entre les dents c’est encore pire c’est le point culminant le blanc contre le blanc ça fait comme une douleur acier avec un goût de menthe parce qu’on peut croire qu’en se frottant les dents la douleur va disparaître et va partir tout naturellement comme elle est venue qu’elle va baisser la tête plier son corps mais c’est faux de penser ça on ne s’arrange pas avec la douleur car rien ne part vraiment d’ici rien ne viendra remplacer la dent qui manque dans le mal de tête que je ressens au côté droit des choses que je secoue comme un tapis au dessus d’un balcon gris foncé rouge pour que cette chose là disparaisse complètement de mon cerveau que je secoue aussi comme une serviette sale au dessus du vide pour me voir tomber un peu plus bas comme des miettes de pain de la peau du sucre je sens que quelqu’un me pousse dans l’eau et prend un immense plaisir à faire ça ça se voit clairement dans les yeux ça brille comme une lumière qui vient frapper de plein fouet un morceau de ferraille un bout de plastique dur un œil  je suis au milieu d’une forme carrée bleu je nage derrière un trait je suis en retard  je ralentis je me dis que non c’est pas possible encore une heure trente d’efforts intensifs et de battements coordonnés je sens qu’un nouveau rythme me propulse plus bas que d’habitude je dors sur le côté je peux me suivre et me vider me débattre et m’impulser je me noue j’avance dans une eau claire je lasse mes lacets je me supporte tant bien que mal je me redresse je fais un mi-temps comme on dit pour laisser quelqu’un d’autre à ma place quand je serais parti d’ici je dois prendre des escalier une rame un train des escaliers encore je viens de casser un lacet sur un escalator en panne qui ne fonctionne plus depuis 8 jours et c’est très emmerdant car j’ai rendez-vous chez le podologue à 17 heures 48 du matin dans un petit lotissement très mal indiqué sur un plan que je referme violemment parce que je marche mal à cause de mon lacet cassé je vais être en retard on va me découper le pied à la scie à métaux électrique pour l’exemple 

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Re: simple passant

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je suis sur le dos qu’est-ce que c’est bon à croquer des baies sauvages quand on vous la met dans la bouche par en haut quand on bave avec deux seuls doigts liés par un ruban avec de la rhubarbe comme un calice un caramel il y a un corps étranger qui se promène en nous depuis des siècles est-ce que tu me reconnais comme fer de lance comme room pour écarter tous les liquides comme eau salée comme eau en plastique je lance la digue dans toutes les directions possibles j’aimerais écrire que l’eau que l’eau assèche la petite table triangulaire posée comme un ramequin des fruits coupés dedans par la route par la baie sauvage très sensuelle comme une forme de pureté je suis enceinte dans mes émotions j’ai une vraie histoire à raconter j’aimerais m’en mettre un peu partout dans chaque orifice ouvert quand c’est venu tout droit de l’océan de l’aubépine je sais car j’ai appris qu’un seul cheveu peut m’étouffer tout doucement dans mon sommeil avant de m’endormir dans une coiffe un peu géante il y a la gorge montée sur son monticule qui en demandait de tes bouches en rappels comme des chutes aux pics les plus élevés éloignons-nous du centre des combats infanticide et sec comme le chiffre 4 qu’on multiplie par douze on me demande sur l’autre ligne je suis avec dieu et dieu ne nous protège pas de tout c’est trop haut c’est des conneries de croire qu’un bassin enfournera le dos comme une aiguille on me regarde frapper une porte à grands coups de godasse dans ta gueule j’ai posé les valises il y a de la lumière un esprit rouge des hydravions partout des hydravions sur l’eau pour nous poser des métastases évidentes après recul avec ce désir de mordre la table des naissances et des opérations qui se sont mal passées anathème anathème j’en redemande et puis des barques pour nous centrer dans la vie d’un homme il y a des petits chaos successifs dans chaque poche en amont ça fait du bruit quand on marche sur des corps en entier des sacs isothermes pour nous remplir qu’est-ce que je sais du mot savon du mot partir on me regarde sucer mon pouce comme si j’étais un tout petit enfant mais c’est pas ça qui fait que j’ai mal au ventre quand je suis dans ton ventre c’est la fixation des choses impudiques et la mort qui s’installe en nous comme une petite musique de salon même pas douce même pas belle même pas infanticide j’ai du fixer trop longtemps les arbres dans la cour penchée admirablement c’est la nuit magnifique ou on c’est laissé tomber dans l’autre qui retient tous les fils de la peau c’est la musique qui c’est installée dans mon ventre comme un verre d’eau sur nos fronts d’une douceur extrême pour avoir mal et faim comme ça de ta chaire une vraie tuerie

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