Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
suicide toi mon fils [ d i v ]
Albums Photos
Publicité
9 février 2011

/ / / / / / / / / Pas bien pas bien du tout je

/

/

/

/

/

/

/

/

/

Pas bien pas bien du tout je jette un œil je suis en train de déglutir sagement derrière une baie vitrée un arbre plié par le vent dehors ressemble à s’y méprendre à un genou en plein effort en train de se plier parce que le corps n’existe plus. Je mange avec tes doigts au même feu. La même nourriture pour être fragile. Je t’attendais. Je ne peux pas m’y faire. A l’absence de camions dans la chambre. C’est ça c’est ça avance dans le tunnel qui a une eau propre au cou et tu pourras me doubler comme dans les films au cinéma. J’ai peur de prendre l’avion pour te rejoindre à pieds. Je n’ai plus de système pour me répondre. J’ai un poing mort dans l’estomac. Dans l’estomac j’ai fait bon voyage dans le corps d’une clochette pour me mettre à table. Un kilogramme de sucre pour faire la différence. A cent mètres il y a des petites étoiles qui tombent entre les 100 murs que nous avons longé dans un dé bleu sans faire de bruit. Bateau dans l’explosion des mots pour écrire toute son histoire sur un cahier qui a mordu des dents sur un plateau avec trois accompagnateurs. Je me dégage comme je peux. Je suis dans un nuage. Je suis dans une clinique. Ou dans un bilboquet. Je joue zéro zéro dans la cible. Il faut que je perde. Elle m’a bien eu la voix plissée qui traînait dans la boue pour devenir une robe de coton pour épouser mon corps. Je m’observe. Qu’est-ce que j’ai fait. Le visage. Une flèche jaune à sens unique dans le cœur. Et pas grands choses de solide qui tiennent encore le goût dans la bouche des trains qui ne reviendront plus. Sommes-nous encore vivants vivantes encore debout. Je ne sais plus. L’écart est trop grand entre nous depuis la maladie des arbres qui ont cassé le sol de la maison. Petites coupures dans le ruisseau des cadres en bois qui circulent dans le verre où nous marchons sans nous parler. T’entends derrière toi. Dans ta tête. Rien. La petite chanson des morts. Qui revient de temps en temps. Jouer sa musique de porcelaine sur la joue des voyages qui s’arrêtent à mi chemin. Dans la boucle de cheveux qu’on étouffe avec un mouchoir gorgé de salive et d’adieu dans la même main. Qu’est-ce qu’on est bien dans le soin réparateur qui soulage intensément les cheveux. J’ai envie de bouger. Comment tu t’appelles toi ? Gens. Je glougloute je dégueule et verse et trouve dans sa gorge un joli chant d’oiseau. De rossignol je crois. Une crinière bleue dans le tamis. Bonne chance. J’ai eu un choc de découvrir ma seconde main. J’arrive à expiration la base virale a donné ce matin l’ordre des médicaments qu’il fallait prendre pour serrer les poings. J’ai toutes les données du vent sur une feuille. Les dimensions du toit. Je peux me fondre dans la foule pour exister. De la musique. Je m’adapte mal comme je peux. A l’épiderme de la peau. Au frein cassé. Dans la descente. A le bonheur à le bonheur et son enfer bien connu. Je suis une pomme amer acide et verte je suis un homme moderne qui ne change pas de peau directement je suis une femme aussi par extraction qui aime l’écran total et les mises à jour des codes secrets qu’il faut entrer dans la base de donnée pour être connecté au monde je tremble en regardant le ciel tellement c’est beau d’avoir écrit dans une cage d’escalier. Je rentre au hasard dans ta bouche. Je m’invite à des expositions de peinture pour comprendre la vie. Mais je n’y comprends plus rien aux fantômes à tous ces morts qui me font la toilette le matin pendant que j’ai le dos tourné. La naissance des limites à ne pas dépasser quand elle est en transe et quand elle lèche la vitre pour accentuer sa voix. Sa voix grave et tunique. Sa beauté masculine qu’elle défendra toujours. Mes petits seins pour traverser les vignes. Elle peut la faire les yeux fermés sa gymnastique dans la belle salle ascétisée en mousse pour encaisser les coups pour que ça fasse moins mal. Et tous en rythme et tous en rythme. Un deux. Un deux 3. Je vous reçois. Me recevez-vous dans votre enfer. J’étais cachée dans la laisse du chien pour boire l’eau des citernes. J’ai percuté l’incendie avec mon ventre pour avoir peur de tout il est facile comme ça de modifier toutes les portes coincées à l’intérieur de nous. Le chemin de la bordure impraticable. L’oreiller sous la petite dent blanche comme du lait caillé. La gueule du chien dans la petite culotte marron que je tiens en joue pour me baiser en ligne sur ton ventre. Le jeune homme au sandwich. Ce matin je suis une femme.

/

/

http://www.youtube.com/v/hVfnvorHC3s&autoplay=1

/

/

/

/

/

/

/

/

/

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité