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TA GUEULE
[ un jour il faisait un très beau temps dans les nuques venues taper derrière est-ce que cela faisait mal à la tête quand je faisais ça sur tes corps en train de tu t'en rappelles très bien des petites étoiles enfin ce qu'il en était des petites étoiles nous éclairaient la route enfin ce qu'il en restait de la route derrière ça du fil pour se les rassembler toutes se les reprendre comme si c'était perdu d'avance je doute je presse quelque chose de commun la ville et ses il manque quelqu'un je crois bien qu'il y avait un bord de mer une falaise du sable et du gravier ou un bord de mer de l'eau transparente et un manque d'équilibre pour la chute des fois que la projection droit dans le mur la tête la première soixante cris à chaque extimation je crois qu'il est l'heure de nous quitter même si même si rien c'est moi qui part la feinte n'a pas tenu toutes ses promesses je crois bien que si j'avais un peu plus de temps devant moi et bien ça me fait pleurer ce que tu écris alors je m'emmêle bien toutes les peaux tu sais la dernière je ferais l'effort dans ma matrice de rompre et de te suivre j'y vais sans cesse je crois que j'écrirais un truc qui parlerait de voix de falaise et de sable oh je crois bien le tenir quelque part ce texte qui parlerait aussi d'étoiles de route de rien et de ciel très beau le soir quand la ville est en train de basculer dans quelque chose de noir comme une voix perdue dans le sable d'une route étoilée par le gravier d'une falaise qu'on aurait manger et bu toute la journée pour le mal digérer tout ce vide en parlant de soleil de sexe de vérité mon cul deux cent sept cent lignes dehors qui se conjugues pour rien atteindre de comestible je tombe sur plusieurs lampes pour être quelqu'un de lumineux moi je suis l'arbre dans la forêt qui brûle mon corps et qu'est-ce-que tu attends la fin ou le moment ou nous serons deux dans la ville la ville est tombée sur mon dos la vérité est facile à dire quand on la mâche au fond de sa bouche avec les dents sales on vient de fermer l'oeil on est en train d'écrire que le sable gagne la route par la falaise et non par la voix qu'on entend dans les étoiles comme du bruit qui résonne dans la chambre quand le ciel est beau comme du gravier noir poli polissone saute moi dessus m'ecris moi des phrases superbes sur la peau pour me constuire des portes hautes comme des sommets d'upercut ou des bateaux s'accordent pour traverser nos rires sanglote un peu sur le dessus qu'on écarte avec la langue et qu'on tourne qu'on tourne qu'on se casse la gueule on a répété avant le lob l'écart qu'on tient précieusement comme un diamant dans la bouche pour parler sur la route pleine de gravier sans vérité de sexe aussi qui touche et s'apparente à une route esquintée quand le corps penche tout étoilé à sa charge et nous avons perdu cette voix nous transparente qu'on écoute quand la ville est une falaise dans le corps de l'autre je sais que je me mange pas je sais que je sais que de la nourriture s'enfiltre dans les étoiles qui brillent le mieux dans le ciel et aussi sur la ville pleine de falaise et de dents fragiles comme du sucre quand tu manges mon sexe sur la table pleine de sable et de gravier blanc qui coupe l'épingle en deux je n'arrive pas à ressembler à une fenêtre m'ouvre moi comme tu peux sens bon chemise je fais l'écart avec une page de dictionnaire que tu apprends par coeur pour la réciter aux étoiles à la mer à l'impuissance d'exister seulement dans les contrastes et puis voilà je suis debout je cherche un nom de maladie sur google et yahoo avec le début et la fin de la voix que tu entends dans ta tête non dans tes ventres non dans tes peurs là précisément les jours ou tu écris le mieux dans ma peau pour y laisser du sable du gravier un peu des deux et puis des 3 quand le sable devient un peu plus dur dans ta voix ma princesse pour casser la route je dis bien pour casser ma princesse il faut une route je parle bien et puis surtout chose importante il faut tuer la mère ne pas la louper bonne chance en même temps dans le sexe de l'enfant féminin décédé que les graviers caressent dans le même sens que la dernière fois quand la route était pleine de falaise et de cendre comme si c'était de la nourriture qu'il fallait pour écrire alors qu'on mange plus que son ombre pour nager dans les pages d'un dictionnaire retrouvé au pied d'une falaise au bord de la mer et lire l'angle du plafond dans ce monde de dingue ou le sexe est un gravier extrêmement puissant pour percer le secret des étoiles qui tombent parfois sur des routes esquintées apprises par coeur la nuit ou nous étions extraits de la liste des petits animaux rampants je m'en rappelle très bien qu'il faut te sortir de là tu en as encore le temps tu en as de la chance tu as autour du cou un très joli bracelet en métal pour te perdre si un jour tu n'as pas comblé à temps le terrain considérable qu'il te reste à faire d'ici à la mémoire c'est le chaos le régime sec ] [ c l b / o s ]
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