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suicide toi mon fils [ d i v ]
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24 août 2011

 j'ai raté mon suicide    [ quand on ne sait

 

 

 

 

 

 

 

 

 



j'ai raté mon suicide

 

 

 

 

 







[ quand on ne sait plus

trop où l'on va, on explore

ses racines ] [ l d ]











 

                 

 

 

                 Je ne peux plus voir les autres, il y a des fous qui tirent sur la montagne avec des instruments, placés comme ça en bandoulière dans le dos la nuit tu n‘as plus peur de rien tu avances dans le calme dans les deux sens il faut avoir les nerfs solides, je suis prêt maintenant à tomber j'en ai envie, et c’est toujours vers onze heures que ça se passe il faut s‘engager avant les autres il faut aller maintenant vers le haut, magnifique, la terre battue pour être encore en vie, qui colle au talon la densité toute cette mère, il faut tout prendre et tout laisser faire derrière soi le désordre avant le feu l'obstacle en équilibre, on vous l'a déjà dit et répété plusieurs fois ce n'est plus la même vision que j'ai dans le ventre nous allons marché pour comprendre le monde, il y a 2 approches différentes pour être de la matière c‘est toute ma vie qui passe à toute vitesse au ralenti, le seigneur ne voulait pas nous suivre enfin pas directement si c'est ta voix, il avait perdu un coin de ciel bleu dans ses poches quelque chose de liquide, enfin je dis ça moi mais c'est purement gratuit, nous avons détruit l'enfant, dieu je lui arrache du papier dans le jardin des omoplates je pense à lui maintenant il me voit pas il cherche l'heure des coupables et du sel qui nous pique difficilement la peau avec sa bouche ouverte, s'il vous plaît monstre je m'isole il faut rester sur le côté gauche de la poitrine promène-moi, je vous en pris sinon il pourrait vous arriver un grand malheur, allez allez pour marcher dessus des rotations comme des nuages, on se dépêche on arrête de réfléchir, c’est dehors/t’es dedans, je cherche une réaction positive en chaîne une marque profonde dans la cendre, je dis rien ça part pas du sol et elle enroule jusqu'au sommet avec sa peau ils aiment pas ça, la mort des poissons, à présent il ne faut pas prier pas laisser de traces c'est mauvais quand la douleur est supportable je la prolonge, je dois être sur le ventre, je vous ai dit d'offrir ta maladie, loin d'une chaise pour regarder l'amer comme c'est facile, et seul, des images passent dans le livre de vie jetable, seigneur qu'est-ce que vous avez mis dedans/dehors c‘est ça l‘histoire sera lumineuse, on se dépêche et vous rentrez chez vous vous prenez tout votre temps vous essayez de chanter juste vous chantez faux, et puis et puis maintenant j’ai des grands bras je ne suis pas favorable ni contagieux en un mois peut-être on est à la mi combat, c'est la transformation de l'œil, j'ai su très vite l‘astuce du jour pour voir le gigantesque incendie se préparer en nous autres et ça n‘a rien à voir on fait glisser sa jambe, (comprendre avant de marcher que j’étais presque par terre c’est une faiblesse souvent un travail au sol, normal normal), aussi c’est l’apparence vous travaillez peu la terre vous avez mal au revoir dans la petite seconde longiligne, vous êtes seule vous avez été battue on prend le bras, est-ce qu‘il a récupéré suffisamment, cette faiblesse complètement malade est la distance à atteindre avant la nuit, je me tais par sa vitesse et sa violence c’est la révolution de base il faut rejoindre, le silence et le bruit des pylônes il faut réagir on sent qu‘il y a de la transmission, peut-être pas, oui bien sûr, êtes-vous en éolienne, libre, se souvenir des jours heureux des bras tentaculaires, et comme je les comprends, quand je les vois regarder tous ces ballons rouges de toutes les couleurs se diriger vers le ciel se sont tous des requins attention à une minute de la fin tout peut arriver c‘est bon c‘est bon on y est presque dans le signe de l’avenir, le je c‘est du vent on ressort tout seul, on se protège mutuellement comme on peut nous sommes des sabliers et j‘ai dit, mon dieu, des escaliers, qui brillent, mais rien n’est terminé on ne recule pas, reste debout, c’est fini, c’est extraordinaire ce que tu as fait ah ça fait plaisir on n‘en demande des choses y-a plus que ça nous échouons, il est magnifique le jardin où l'on voulait mourir un peu, partir pas cher, sur n'importe quel bien rouge et domestique je suis hyper content, j'ai laissé toutes sortes de mystères et de traces un peu partout ça m'a fait mal au début ni pensons plus maintenant je trouve qu‘il fait très beau ce soir c‘est juste impressionnant il faut aller dans la ligne de la violence on a envi d‘aller jusqu’au bout, regardez bien ce mal de mer infléchir quatre vingt quinze combattants un homme de calibre, je vous ai donné des roses pour vous piquer avec les ronces, à table les grandes passions, et quelle énergie, putréfaction trouve-moi-écarte, je mange l’assiette avec, émule et moi, nous sommes attirer par la nuit, réponse ce soir (21 commentaires - on a parlé de micro - de capacité à gagner - on monte en régime), laissez-moi réfléchir, je me sens très proche, je discute avec la plage, je ne peux pas être partout mais je veux être un triangle, de farces et de petits poissons sur le dos, pour t'endormir en galerie chambre, souterraine, on va courir ce soir et nous reperdre dans cette ravissante maison qui est là tienne dans cette histoire, en face de nous, tu es, parle-moi d’outils putes aux maux, des ténèbres, le monde entier à quelque chose à dire derrière la porte, se faire battre et l‘engagement pour y arriver, par une multitude de chose, comme j'en sais rien moi, la pluie coupée par son élan timide et torrentiel, c'est passé dans nos mains souples mais c‘est vrai qu’il faisait froid et en moins de quelques secondes, ailleurs et très dangereux, l'écriture les souvenirs les distorsions, partez quand les autres rentrent, partez dans un autre tableau, noir de l'autoroute, un support affectif courage, n’ayez pas peur, courage petite figurine, courage, un retour à, la ligne avant d’aller tout de suite après le diner, je suppose qu’il a fait beau là-bas, j'aurais pu prendre de mes nouvelles, je cherche et superpose je me suis jeté à la figure des choses épouvantables, un sexe mouillé qui ressemblerait presque à un diamant qui ouvrira cette porte, nautique et horizon très faible et très nerveux, forte comme cette double qualité qu'a l'enfance j‘ai lu dans les journaux, que les premiers mots d'amour sont comme un siège je suis épuisé il va bientôt faire nuit, mais je n'ai pas peur de l'amour il m‘inspire encore un mouvement, et puis vous c‘est comme avec la mort, encore un championnat du monde à faire des tournois, c‘est usant comme adversaire, j'ai bu la tasse et je la prends, dans une architecture moderne, d’objets coupants jusqu'aux immeubles et grandes carcasses parce que vous êtes seul comme moi comme un flocon de neige je dois aller jusqu‘au village et deux petites sanctions, qui apparaît pour la première fois sur la peau et dans la maison toute neuve en blanc, dans un immense désert dans la salle, de chair et de bonbon, caillouteux avec fenêtres et coudes, (contacts avec ses jouets - encore une fois dans l'embryon mâle - il faut suivre n'importe quoi - un sécateur pour les mouches - écarte-moi de la pensée de la lumière - tout va bien ce n‘est pas moi qui a - c'est moi qui tire la langue les ombres vertes les herbes folles à l'aplomb dans la cuisse pour tout rater - les dessins sur internet dans le cœur sur les épaules - faites-moi confiance et je serais un autre - comment chasser le bonheur - nos déplacements - notre été pur - c‘est sans importance les coups - rentre à la maison - je suis juste un peu fatigué de moi-même - le papa), c’est un domaine où nous mangeons nos doigts le moi-même, je dis bonjour pourquoi je dis bonjour à tous ces gens bien attachés à la pluie au soleil, brûle-moi les mains pas énormément tombées, voilà qui va devenir intéressant, le désir d'avoir un corps tout neuf un jour et immersion totale, va t-en, c’est la surprise du chef, il n'y a que ça dans le frigo, la faim d'en finir un jour avec tout ces chiffres et ces consommations mag, boules d’acier dans les gants afin de ne pas heurter la conscience des âmes sensibles c‘est des chats, bouffer la pluie grasse, sinon je chie sinon je mange et je dérape je glisse, je dis quelque chose, première première étape, sur le feu s’adoucir je sens mes petits pieds masculines en fin d'exercice avant de sauter dans le vide, (culotte marron - pourquoi cette couleur dans la cheminée - qui recommence à me hanter comme un mur de prédilection - vous êtes là - j'ai peur - mais cette peur me va très bien - merci beaucoup - merci beaucoup pour tout - j’aimerais pouvoir venir vers toi dans l'édifice des mots sacrés je me jette à fond), quand tu me donnes envie comme ça, de cheveux, de lait jaune de fausses attaques, une voleuse qui part de loin, des précisions, encore des précisions, et l'amygdale à la lisière pour vous atteindre et le poumon poumon, allez vite allez-vous en longues lettres dans la boue silencieuse et pas un nuage dans le ciel qui ne passe pas je vous le rappelle, félicitation, je suis là je vous écoute je me tais un mouvement de hanche je pensais que ça fonctionnerait beaucoup mieux en temps réel c‘est long, un espace nul dans le déplacement c'est une suspension comme le bonheur et la souffrance mal dite mal contrôlée, marchons cachons-nous c'était pourtant bien et souple d’avoir la nausée toute la journée comme un prolongement de soi une longue série, d’accord - d‘accord, j’ai mal au cou, mais que choisir entre un apache et un indien banquette, mais encule-moi si je pouvais j‘ai hâte j‘en prends conscience j‘avais perdu contre cette jeune fille et ça n‘avait pas été une surprise pour personne, chiendent et au travers salé, (plastique tendu en plastique souple pour maintenir un peu de distance une dose mortelle par accident), ne suffise pas toujours pour être un homme, cap sur ce que j‘ai entendu, je m’attache à l’obscurité de la lumière, nous avons tous perdu nos enfants, mais si vous la voyez boire du jus d‘orange ce n‘est pas elle dans ses tenues impeccables en faites si je me rappelle d‘une seule chose, je suis belle et mon dos respire et bien présente dans l'attachement de la peau, qu'elle me dit, tes blessures sont comme des baisers, un ciel rouge menaçant regardez là, elle m'en dit des choses toute retournée, mal au cœur toute la vérité rien que la vérité, au fond là où vous sentez le pouls se faire battre par la beauté et la richesse des nuages qui passaient dans les yeux en fermant le ciel lisse comme du parfum ouvert entre elle et moi et se sera le dernier test je tiens bon je tiens bon et c‘est très bien mais combien de temps ça va encore marcher ça s‘oblige, j'oublierais tout de moi, de mes sagesses de dent, le sens que je dois donner à ma vie, ce putain de sens que je dois donner à ma vie n'a pas de sens on a vu la joie je me sens transportable ça peut tuer quelqu‘un comme moi si je tiens bon premier deuxième, je dois tourner un bouton dans le vide championne du monde c‘était difficile, je n'arrive pas à écrire c'est pire que faire l'amour, pourtant il faisait beau quand je suis mort dans tes bras chaudes et enveloppées tout en puissance, tu respirais plus, et moi je volais en éclat oui mais uniquement dans la défaite, y-avait des grands morceaux de carrés rouges des fleurs ce matin pour s'en remettre un peu partout sur les lèvres les choses vont vite, des cailloux des tonnes des trapèzes comme des épaules j'écris sans mixtion dans la main gauche un livre et un cheval qui va très vite ça ne vient pas comme je voudrais cette formidable envie de vivre, ce nerf tendu comme de la corde avec du muscle autour est bien plus chaotique que parfait accrochez-vous on dirait qu‘il est entêté solide net et sec de l‘ami don, quelle folie, on se quitte dans cette ville pour les murs, mettez vos mains sur le volant contre moi, une clarté évidente apparaît, un soleil un livre un voyage sent bien avec le temps qui passe que l'écriture est dans la bouche d'un muscle cardiaque nickel comme ça je te crois sur parole ne t‘inquiète pas la perle verte, je t'en donnais du pain trempé, particule vivante, du sang dans la circulation, averse, inonde tout, ami j'ai longtemps cru que nous avions du temps il y a dix mois, j'ai toujours été fasciné par le soleil dans tout, démonstration dans nos gorges plongées n‘est-ce pas, les cosses, pendant que l’écriture explose, ment meurt aussi, au revoir, et va dans la vitre la tête la première dans un ordre parfait je vote pour que se soit beau, nous cassons tous des merveilleux chemins, et tous ces merveilleux chemins sont fais pour disparaître un jour avec nous, c'est l'autre, moi je n'existe pas, c'est l'autre qui a pris corps et possession dans ma tête, et pas l'autre chute et pas l'autre espace non plus du plus petit endroit du monde pour nous croire dedans c‘est bien l‘impression qu‘elle donne, statue subjuguée ou en passe de l'être un jour ou l'autre, un jour des re passages en sous bois pour nous écarter complètement du ciel et des réponses qu'il faut écrire dedans je sors de l‘ombre, je bois de la douceur dans mon verre d’eau j'attrape régulièrement l'heures des secondes pour oublier qui je suis vraiment, ça tue d'être un gravier dans une minute d'eau chaude sans précisions à donner, je vis non naturellement, la cellule mère enfant patrie je pousse, ce va-et-vient je pousse la maison je rentre dans une porte de la maison c‘est terminé les occasions sont rares, je suis un thème astral, un raté d'écrivain de la peau, et puis une merde me tombe entre les jambes, et c'est tout un monde en spirale qui sexe pose pour prendre la faille pour être encore debout, et en surface, ensemble je me pose une seule question j’ai souffert, c'est vous dans le ventre d'une dent une heure, drastique je le sens bien, j'ai la douleur des hélices qui me rentraient dans la terre quand la route était finie vous êtes juste après, éphémère parce que vivante et morte à la fois dans mon sommeil pour me jeter à l'eau voilà, je suis en deux coupé, et le soleil étape peut bien nous guider n'importe comment pour nous marcher dessus, cris les avions nerveusement dans les cieux les sentiments volés les 7 de tables, crissent nos grands voyageurs, (rire dans le ventre - la lumière n'est pas la même qu'en bas de chaque côté j‘arrête d’éliminer tous les faux indices ouvrez lui les bras en grands un vêtement vert devant lui la réchauffe elle se trouve dans le grenier j‘ai tout donné et là encore), un coquelicot de champ, tout, nous cassons, tout, convaincu d'être seul, comme toutes ces étoiles que nous n'aimons pas suivre, rien c'est à dire, rien, spécial hiver soleil ça c‘est vert non c‘est trop foncé, plus basse dans un hectare de peau, j'ai traversé la page blanche sucrée qu'on a en face de soi, fixation, sujet, rappel, c'est mort, ça a déjà commencé par dire non, comme un adieu donnant donnant super jeu sur un système une forme venue d'ici et vous souffrez, bourdonnement on va voir si la mouche est un insecte, mon ange et des biscuits, ensuite, une mer qui revient pas mais qui résiste, sont belles, vos chattes enfin vos sexes madame sont belles et croyez-moi résistent et restent à mes yeux votre plus grand mystère et ma plus grande énigme, tuez-moi tous ces visages d'enfants et qu'on n'en parle plus, s'annulent, c'est le signal, un seul chemin pour en savoir plus qui mène là-haut ici tu parleras peu tu commences à comprendre à te battre, à reculer, tout, je dis bien tout pour que la peau nous montre du doigt, rien, reprendre le parfum d'un homme dans le cou volé d'une autre femme, et nous baisons tous avec nous mêmes  dans les restes des anciens scaphandres comme si nous étions à nouveau perdu dans un nouveau cimetière marin, c'est l'affection qui nous fait gagner un autre étage de pourriture c‘était l‘occasion ou jamais de recommencer le même parcour, nous sommes tous nagés comme une pierre, brume à l'heure ou le soleil a mangé un train pour pleurer quoi devant soi, un trou prendra le relais ce soir, la folle envie des trains pour en finir avec la vitesse complètement dingue du bonheur et du malheur une chute mémorable pour développer une autre chute mémorable, pressé par de la terre voilà je veux voir dans l'objectif monographique du sable s'il est étanche à l'eau s‘il résiste à l’eau je ne sais pas pourquoi l‘eau encore, je veux sur des murs écrire une pierre blanche dans la peau de mes semblables pour ressembler à un panda, c'est doux un panda, c'est physique, je vais ces images là vous les montrer tout de suite en grandeur nature et océan sublime, je choisis la femme, personnes dans la crinière du vent, et plouf et suinte comme une espèce de plaie qu'est le monde ouvert avec sa langue que je ne sais pas très bien parlé il n‘y a pas d‘histoire à écrire pour moi, il n’y a rien de grand et je baille et j'ai sommeil et c’est facile à dire, pendant que toi tu veux toujours des belles roses rouges pour éclairer ta tombe quand tu seras morte nous rechercherons dans les pages d'un ancien livre ta plus belle photo pour savoir si tu avais bien dans les yeux cette couleur là, primitive et fauve, ah ces fenêtres toujours à regarder le ciel venir et repartir avec ce frein, mon corps à l'unanimité prend goût tout de suite et m'applaudit comme si j'étais un truc en fer quand tout sera fini, brûler non, pourrir oui, sauf si on me gaze ou on me tire une balle dans la nuque derrière la tête des travaux effectués une poutre métallique qui se dessine enfin comme une société meilleur, fosse métal on va les dents se les brosser dans un dernier cri phénoménal et lent, caméra en entier le corps, pardon comment croyant croyez-vous le déraillement c‘était toujours l‘horreur pour le remettre, je vous ai regardé longtemps car j'avais qu'une envie et qu'une idée en tête celle de vous baiser de vous toucher la peau je ferais appeler des témoins pour ça c'est fonctionnel c‘est comme un fleuve qu‘on regarde trop longtemps après il vous mange le cerveau enfin ce genre de produit là, cet amour là fusionnel pour la citronnelle avant les perfusions et les cages thoraciques dans le trou du cul, pas beaucoup, si peu de crème et d‘attention, passons dans le sol où l'eau diminuait, silence, ta serviette mouillée autour du cou, et puis la mort devenir une abeille assez souvent change de couleur pour respirer ça frappe, des trajectoires, c'est dans les maisons qu‘on a peur des fantômes et pas dans les voitures alors que c‘est beaucoup plus dangereux les voitures, vous voyez bien comme ça remonte vite à la surface ces machins là ça tombent comme des mouches mortes un stylo face à la lumière, ce rêve coincé comme si chaque pierre était le corps des larmes fait autrement à contre jour produire de la pornographie, et puis il pleut et ça s'arrête, et puis marcher dont la fonction première est un corps ça fait des remous géographiques opposés, une flaque transparente transporte une dent cassée, les machines taisez-vous sur du blanc papier je m‘analyse, le silence est bien plus noir de monde que ça, je ne peux plus rien dire ni promettre après avoir dit je t'aime, à l'heure ou je vous écoute, je fil sur une marche me coupe un peu la langue avec un paquet de lames c‘est fois c‘est lui, incrustée de sable fin sur la peau, mais l'un empêche l'autre de danser, nu comme de l'écriture savonne, une fois blockhaus, dans la forêt gravier, (lumière), mon père toujours le vecteur la pomme le verre et le premier matin pour respirer sans moi, toujours l'odeur dit tout d'un crâne, je veux noir humain et I V G pour prendre un peu plus de vitesse dans la bouche comme ça sur le devant ouvert du ciel bleu qui tombe n'importe où devant moi une forêt pendue au toit d'une maison, c'est bien des fois d'inverser les choses, commencer par la mort et finir par la vie, je marche et après je joue, au badminton, (de toute façon je tombe), (cascades ensoleillés), (drains), (intestinales), une porte ne s'ouvre pas que ce passe t-il j‘aimerais bien le savoir, cette bouche m'inonde, il faut pencher la tête dans la foule, vert bronze printemps mécanique, pendant que cette fille suce son pouce comme si moi je suçais sa queue et j'imagine, inversons les rôles pour savoir si la mort est plus délicieuse là ou ici, brouillon - modifier la date des splendeurs lavés au sable fin pour que la peau soit plus douce ici ou là au sucre, tu me vois ovale toucher les mémoires des océans pour me couler la dent la plus sensible et je suis mort en haut à droite, dans tous ces kilomètres, en profondeur je touche le fond je suis pourtant foutu comme eux je vois à la télévision des groupes d'homme courir vers et dans des fosses et puis après plus rien ça tombe les uns sur les autres comme des mouches ça s'appelle la shoah par balles et puis après y a eu les camps parce que c‘est plus propre et moins stressant pour les nouvelles recrues, la musculation, et puis après y a eu Mike Brant, on voyage comme on peut, dans le soleil, je ne sais plus très bien où aller, (cochère), où dans la poitrine bleue, des gens qui passent, des jours heureux, musique d'un film sur le fœtus des gens, un sac poubelle avec du lait dessus de la viande, une première, (des noix pour mesurer le fond là mais au moins l‘étau se remplit visiblement ça va se voir), nous je ralentis jusqu'aux larmes sur raison d'être un fluide corporelle non caoutchouteux une performance néo je sais pas quoi pour me perdre toute une année une vie j'ai de l'endurance, je ne prendrai plus d'eau, ses cheveux... et ça me fait du bien jusqu'au ventre de savoir que les églises ont un secret bien gardé fétiche taillé dans le gras et double, je vais à la main sur les plafonds, j'ai de la chance, au jeu d'être un angle vivant, moi dans la semaine, un jour je cartilage un autre je touche de l'air, je sais avoir froid en plein soleil, dans le drapé des cubes et des carrés, violences, j'en mettrais bien là tout à l'heure, dans l'anus d'iode, dans ce coït ininterrompu cassé en deux morceaux quelqu‘un a du marcher dessus avec la clé dans la serrure, dimanche après-midi derrière un arbre putain qu'est-ce que c'était bon chez le dentiste quand je lui ai brossé les dents du fond et pas celles du devant un peu plus vite, la texture qui pétille qui devient blanche le fer est chaud à faire des efforts, ça vient m'embrasser directement sur la bouche les enfants morts comme du papier épais, oui ou non, je vous entends nous devons tout savoir dans les moindres détails, je vais jouir juste avant de vivre et pas le contraire, il fait soleil bas il était environ quatre heures, je viens d’avoir un grand choc je ne sais pas quoi faire c’est le dernier message posté avant câbles et jardins, je me cache la mer dans un cercle (écrire), avec du thym l'orgasme d'une salade, des coups des corps en décompositions, de l'eau, je suis le dernier dans l'axe dominant du désir, elle me fera mal, c’est une histoire épouvantable, Eve porte un pantalon moulant, et des bateaux ultras sexy, que je vois un peu flotter et mourir au loin, pardon tu dormais je ne parle à personne mais comment ça c‘est impossible à faire j‘ai gardé les clés dans la poche dans la tête de la membrane, oui mais des fois j’ai envie d’hurler dans mon sommeil et dans les sommets les plus bas, nichés, comme cette porte donnant directement dans la chambre des cimetières, c’était un don et non un prêt et pour l‘amour du ciel, rond rond rond je n'ose plus faire de carrés, j’ai peur comme un enfant de quatre ans, 4 c’est le chiffre de la terre, on superpose on introduit on il m’a fait mal, il sent il sent, ressent tapie dans l‘ombre, l’absence l'ombre et la lumière le manque, et nous impose, quelque chose de bien précis dans le ventre de celui qui marche, un combat qui va bien au-delà des limites et des attaques qu'elle peut faire allez, allez j’ai raté mon suicide.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Commentaires
R
Aussi violent à lire qu'il a dû l'être à écrire.<br /> Boulimie de lecture vs logorrhée d'auteur.<br /> Bel effet miroir...
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A
Tu as l'air complètement malade. (Dit-elle)
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P
J'aimerais pouvoir écrir avec autant de mots ,mais c'est un don qui ne s'apprend pas...
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C
comme si cette façon-là était la seule manière de parler vraiment à quelqu'un.
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