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suicide toi mon fils [ d i v ]
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12 mars 2012

continue oui, continue comme ça, ne t’arrête pas

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

continue oui, continue comme ça, ne t’arrête pas non, les roses, le prisme, la belle affaire, moi ça m’excite, le lilas coincé dans les portes, j’ai rien compris, écrire peindre à genoux, comme si c’était facile, tous les jours recommencer, l’arbre à peine, le souvenir intact des lignes, qu’il faut placer dans les virages pour avancer, la chute, on se tait, alors alors alors je t’écoute, je t’ai dans le corps, des choses à l’envers, de nous-mêmes, des barques et des poissons volants, non, j’en récupère des morceaux de toi, quand je tombe, c’est rouge, c’est rouge comme tes lèvres, en train de croquer le soleil, qui sèche là-bas, où c’est mort, nous reviendrons demain, nous le dire en face, il y a des trains là-bas, qu’il faut placer dans les nuages, des draps que la peur à fait fondre en un été, nous n’avons rien dit, avec la main de dieu, posée sur le cœur, dedans pour nous tuer, toi et moi, nous, alors oui, oui continue comme ça, ne t’arrête pas, en si mauvais chemin, inversé ça nous traverse, ça va nous faire tomber, c’est rouge, ça nous a presque déchiré le cœur, derrière nous, des orques et des insectes, nous sommes comme ça, nous travaillons, nous sommes du sable, il y a des portes avec la même couleur, qu’on ne voit plus, non, alors, alors rien, continuions à genoux, la ligne qu’il fallait suivre, nous doublons des femmes et des enfants, sur la route ensoleillé, j’en vois partout, partout même sous les trains, du blanc en boucle, ça nous inonde, ça va jusqu’où, nous assembler comme ça, alors, alors redémarre le programme, même si c’est mort, même si ça s’écarte un peu, nous reviendrons demain, demain te le dire, qu’il y a du blanc partout

 

 

 

 

 

 

 

Voix Texte & Musique : d i v

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