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suicide toi mon fils [ d i v ]
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10 décembre 2012

killing zoé 2 des temples et des soleils cassés,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

killing z2

 

 

des temples et des soleils cassés, à profusion dans les lignes, un animal nous ronge, et prend de la vitesse, la ville compte ses fantômes, l’espace d’un instant son histoire narrative, incomplète ça nous déchire, avec la peur au ventre, on est resté là autour de nous c'est le silence, j’aimerais rentrer dans ta tête, comme un médicament, la science infuse le monde va mal, c’est grâce à nous toute cette vitesse, pendant que zoé dort dans une cage, étoilée sans rebords, ni fenêtres des temples et des soleils cassés, bouddha bouddha, dieu entre les dents, les petites figurines les grandes surfaces, on ne sait plus quoi inventer pour être heureux, pendant que zoé dort avec un singe sur la tête, elle oublie son accident, les coups de poings dans la gueule les mots jetés dans un petit carnet, la plaie plus profonde qu’une orange, qu’une masse d’oiseau noir dans un ciel en train de mourir, les dents n’ont pas tenu le corps non plus, elle écrit des mots d’amour avec ce qu’elle trouve, je vais bientôt crever, à jouer avec les ombres aux murs, la solution finale, les murs ont quelque chose de vraie, ça nous dépasse, quand tu m’as barré la route avec ta bouche, on est passé si près, de la victoire à la défaite on n’en sait rien, c’est marqué sous nos pas est-ce que les tableaux parlent respirent, est-ce que les livres ont une âme, est-ce que les muscles tiennent toujours dans nos corps, petits insectes dans le sang dans les éponges, est-ce que je suis né par accident par amour, un jour dans la semaine, est-ce que ma petite vie faut celle des autres, bien fixée sur un fil à en découdre, le bon équilibre et je m’installe devant nous, j’avais j’avais, j’avais plus le choix plus la force, volupté abîme, et beau panorama qui défile quand j’accélère je passe mon tour, tout et son contraire, tout je vous dis tout, au bord des lèvres, la mort cet appât bien plus précieux que la vie, cette matière molle, avec si peu de lumière autour ça nous fait mal, chez les autres quand elle s’en va, puiser de l’eau dans mon corps servez-vous servez-vous, tournez les pages, c’est jour de semaine, il y a du poisson mort, sur la table en granit rose, il est dit dans l’alphabet grec, que les dieux aiment par-dessus tout les singes, et je les crois, le fleuve déborde regarde, je l’ai vu côtoyer les plaines, ici on s’amuse avec n’importe quoi, bouddha bouddha, dieu entre les dents, les petites figurines, les grandes surfaces, on ne sait plus quoi inventer pour être heureux, est-ce que les muscles tiennent toujours dans nos corps, petits insectes dans le sang, dans les éponges

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Commentaires
C
Celle-là, vraiment, elle est passionnante......sans aucun artifice, menée par le sens et l'émotion, ouverte.
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