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suicide toi mon fils [ d i v ]
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1 mars 2013

RIEN DE NOUVEAU ICI

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J’aimerai quand la nuit vient que ma bouche soit comme un morceau de chocolat
pour me rouler dans l’eau
Mais il est déjà trop tard sept heures du matin tu sembles froisser dans un angle éclairé par les stigmates de la mort
Sais-tu que nous touchons sans le savoir des trains fantôme avec nos cheveux fous défaits un meuble propre pour nos affaires
Sais-tu qu’une tumeur rebondit deux fois plus vite 2 fois plus fort quand on a les poings serrés
J’ai mesuré l’impact du camp adverse avec ta peau subliminale et rouge à l'intérieur
On me regarde avec des grands yeux reculer dans ma propre peau
C’est très inconfortable la nuisance du sel quand l’œil se referme pour oublier tout je manque à mes pieds
Tu sais ça l’hégémonie des sexes l’envie qu’on a de s’écarter
C’est immense la réserve d’amour qu’on a dans les dents quand il y a un trou  
J’ai compris ça un jour en franchissant les limites de la surface d’à côté
Trait blanc talque pour chausser le vide et l’espérance dans un endroit souple qui nous anime chaque jour
L’endroit d’un muscle coupé en deux qu’un nerf traverse avec la rive
Est-ce que tu la sens
La petite lumière des forges qui passe au travers pour nous guider dans les étoiles
C’est une approximation d’un chant inventé qui masque les secondes pour attraper de l’air avec tes mains
J’ai tué le plus petit insecte qui allait grandir dans ton ventre
Pour m’excuser d’avoir transmis cette maladie incurable qu’on appelle sans la nommer
L’amour l’expiration de soi la baise des profondeurs

 

 

 

 

 

 

 

 

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