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suicide toi mon fils [ d i v ]
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29 avril 2013

MON SUPERBE ENNEMI Allez-vous faire foutre moi

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

MON SUPERBE ENNEMI

 

 

 

Allez-vous faire foutre moi j’ai baisé toute la nuit. Les plus belles putes ma maman sur lui. Le ciel rouge comme un diamant qui brille sur toute la ville. L’automate qui fait les 100 pas avant de se détruire. Le lait qu’avait le ciel après la pluie. T’en veux dans l’œil de la paroi amovible pour savoir qui tu es. Je tremble d’inquiétude de me savoir encore en vie. Le silence après la mort le soleil en abondance. Les corps qui ont tenu tout seul en cette fin d’après-midi pluvieuse. Allez-vous faire foutre les astres sont pour elle. Je les emmerde je suis tombé dans un trou moi. J’ai entre les bras mon superbe ennemi pour me tirer de là. Fait de merde et d’envie j’aimerai écrire toute la nuit. Que du blanc pour me perdre que du souffre pour accélérer le vide tout autour de nous. J’aime souffrir te l’ai-je déjà dit que nous allons mourir la gueule ouverte. La gueule ouverte. Est-ce que j’ai bien mis mon doigt dans ta bouche. Il faut toucher le ventre le fond j’aime bien voir la pluie glisser dans tes cheveux. Le monde est monde et nous sommes si petits. Cette sale pute qu’aime bien te voir blessé mort mort. Avoir mal pleurer comme un con dans le corps de l’autre tout entier. J’aime sentir l’ouverture où l’on ne rentre plus c’est interdis tu as jeté la clé sur nous. Il faut rouvrir les blessures. Il faut rouvrir ses livres abandonnés sous la terre quand la foule nous a marché dessus. J’accélère dans le vide tout autour tu brûles encore le sable t’a emporté dans sa chute. Moins sec la chaleur de tes pas dans mon abîme mon superbe ennemi. Que le temps n’a pas changé j’entre en moi pour me défaire de lui. Le lait la pourriture dans un sac plongé dans l’eau comme le souvenir. D’être d’avoir été mon pire mensonge face la mort. Les putes du désespoir que je colle dans le corps de l’ennemi qui vous parle. La tête dans l’eau un été plus pur dans le poing bleu que me donne la vie. Dans la puanteur de l’homme que je suis face à ses démons ses peurs et ses envies. Je suis le grain de sable dans la chaussure la tour d’ivoire sous la dent prête à casser le monde. Quand je me vois dans la glace avec mon ombre qui merde comme toujours. Quand je dois dire je t’aime je crois aux bonheurs aux soleils au ciel bleu à la mer aux silences. A la vie…

 

 

 

 

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