NOUS SOMMES ENTRE DEUX MONDES OU DIEU EST MORT ET
NOUS SOMMES ENTRE DEUX MONDES OU DIEU EST MORT ET OU PERSONNE N'ECOUTE
Corps féminins, pour élargir sans cesse, des visages, des mains, je regarde cette fenêtre, jour et nuit, où personne ne passe, ni pénètre, alors, je retourne de la terre, pour trouver la grandeur du spectacle des, théâtre, la double détente, c’est toute notre histoire, l’or de la rivière aux tympans des routes, et de la matière, je regarde cette fenêtre, qui ne s’éteint pas, quelques formes étranges, pour voir au fond de ton ventre la vie des mille manières, et l’eau, recommencer à naître, la perversion, le sexe, quand la ville, m’offre une vision différente, pour douter, je regarde cette fenêtre, où la déception est grande, de te voir apparaître, double peine, langage blanc, sur le calendrier des jours à venir, paroles envolées fortuites, nous présentons de la lumière à la lumière, personne n’entend, et nous devons participer quand même, au silence assassin de la ville, au centre de la scène, je regarde toujours cette fenêtre, jour et nuit, dans ma tête, la mémoire est le seul et dernier trajet encore possible sous la peau comme le sel, jusqu’à la ligne qui flotte, c’est la montée de l’incroyance et du désespoir, que je retiens dans votre nuit profonde et sujette, à toutes mes insomnies, je regarde cette fenêtre, où vous êtes seuls, à croire encore à quelque chose de vide, nous sommes entre 2 mondes, où dieu est mort, et où personne n’écoute...