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9 août 2013

Johny Haliday Tu m’as manqué Mais j’ai appris

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Johny Haliday

 

 

 

Tu m’as manqué Mais j’ai appris depuis D’où venait le vent Par force 10 Je le retiens Je t’ai cherché Comme un enfant Même sous la pluie Tu m’as manqué Avec ta tête de pamplemousse La fente sous tes cheveux Pour regarder devant Et nous avons marché Ensemble pour oublier Est-ce de la fatigue Est-ce tout simplement nous Qui avons mal voyagé Je te surprends Je t’écris debout Je cueille des fruits assis Je m’appelle Jaen Philipe Tu vois je n’ai rien oublié Comme toi j’ai traversé la Belgique A dos de rien Le pays plat Qu’on touche avec les mains Quand tout s’enlise Quand tout revient La jeune fille blonde Est amoureuse de son artiste Et c’est très bien Johny Johny Johny Ne sens-tu pas venir Dans les jambes Quand tu reviens Le vent comme de l’hélium Passé dans nos chemises Pour être des bons hommes Et puis merde à la fin Tu peux balancer Ta flaque dans les pierres Pour construire des maisons Sur des beaux jardins Comme toi j’ai traversé la Belgique Nous reviendrons demain Johny Johny te dire Qu’on t’aime un peu Beaucoup passionnément Regarde comme c’est doux Regarde comme c’est doux Cet endroit là du monde Le cœur des hommes heureux Et c’est le tiens... Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour un peu d’amour Ecrire des poèmes Tirer la langue des chats Ecrire des poèmes C’est ça Tirer des grands traits Avec le corps de l’autre Pour en tirer quoi Tu m’aimes Si je t’écarte les peaux comme ça dans le vide Laisse-moi rentrer Laisse-moi rentrer De l’intérieur je te dirai qui tu es Si t’es capable de tuer mon amour Je n’ai jamais su prendre la position du tireur couché Alors donne-moi la porte de la clé Pour comprendre qui je suis Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour un peu d’amour Montrer son cul A la plus belle des statues Celle qui n’a jamais souri Celle qui n’a jamais vu le jour Depuis qu’on lui a crevé les yeux Avec du fil blanc pour la suivre Comme si tout venait à nous Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour un peu d’amour Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour un peu d'amour Boire est-ce suffisant pour te tirer les vers du nez Même l’espoir est assourdissant Ecrire des poèmes C’est ça les yeux fermés Tu m’trouvras plus beau plus intelligent Des fois j’ai envie de me jeter dans un verre d’eau Pour t’ouvrir la gueule en grand quand tu as soif Avec ses mots perdus quand nous sommes dans la cage J’ai envie de toi de ton corps de ta peau J'ai envie de toi de ton corps de ta peau Laisse-moi rentrer Je suis si petit Laisse-moi rentrer je suis si petit Comme si j’allais renaitre De tes cendres Encore une fois Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour un peu d’amour... Mon homme s’endort Encore une fois à mes côtés Aujourd’hui Nous avons traversé la côte La mer était belle tout à l’heure Dans ses yeux Mes cheveux blonds Qui font de l’ombre A ses mains Quand il me tenait dans les airs Pour être cette fleur Comme il dit Plus près du soleil Il y a des reflets bleus Dans le ciel quand nous mordons Dans le même fruit Mouillé Transparent sucre A pleine dent Pour ne rien perdre de lui Johnny s’endort Dans la voiture que je conduis Et nous quittons la ville La mer Et la presqu’île Est beau Je le regarde Mon homme Je l’aime... Tu t’assois tu lèves les yeux Tu regardes au loin qui va venir Que cherches-tu Que cherches-tu Dans le stade couvert de bruit Qui crie ton nom L’orage la pluie après tous les soleils En même temps réunis dans une seule main ils sont tous là Pour t’applaudir comme si t’étais un dieu Seul homme capable de les soulever Ils sont tous là Planté là comme un pieu Que le ciel brûle A la clameur des voix Du bruit et des insectes Collés dans la lumière Des villes et des tunnels Si mystérieux Dressés comme des églises Venus priés Ils sont tous là Avec des larmes dans les yeux Depuis ce matin Quand la pluie tombait sur eux Que cherches-tu Que cherches-tu Quand tu regardes tout ça La mer ton père Ton premier jouet cassé peut-être peut-être pas que cherches-tu L’amour peut-être que tu n’as pas eu Dans les mains les bras levés Les anciens camps Les anciens feux Toute la clameur des enfants morts devant toi Et le discours des libertés Symbole de nos unions De nos désirs Parce que nos peurs prennent le dessus Sur le moderne la vérité Que cherches-tu Que nous avons perdu Depuis le premier jour Ici Seul au monde Seul au monde Devant cette foule A tes pieds...

 

 

 

 

 

 

 

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