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suicide toi mon fils [ d i v ]
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16 février 2016

LE ROI EST MORT Tu sais. J'y crois encore au

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LE ROI EST MORT

 

 

 

 

 

 

Tu sais. J'y crois encore au bonheur. A cette couleur pale. Qui passe directement au brun. SOUS LES FEUILLES trouées, blondes sous la peau. J’ai pas d’enfant j’ai pas de sœur. Des fois Je m’arracherai DES peauX comme si je déchirai la première page d’un livre. IL FAUT DU TEMPS il faut du temps il faut du temps. C’ETAIT le rêve extraordinaire des enfants morts. Que tu entends. C'était de l'eau chaude que tu gardais dans le ventre quand tu avais froid... Comme du ruban un peu plus souple qu’avant sous les doigts je plonge. Après l’amour. Si je pouvais renaître. JE LE FERAI MOI je veux mourir ce soir. Les espaces blancs. TOUJOURS des ESPACES BLANCS. Et l’air si délicieux ET DOUX. QUE l’on ressent. Sous les tableaux décrochés. LE SOIR le soir le VENTRE DES TABLEAUX. Ils sont tous sales devant nous. IL Y A. Le portrait bleu du père MORT. Déchiré. Jeté là à même le sol. Même que la cendre est sous la cendre. Il y a le portrait bleu du père mort. Déchiré. Jeté. Je te touche. Je te touche. Et tu me dis que ma peau est douce comme de l’alphabet grec. Ancien. LA VOIX N’est plus la même. Elle dit la voix. LA DESTRUCTION DU PèRE. Un ciel étrange. Une autre enveloppe. Un trait. Dans les cheveux. C’est l’histoire d’un fil. ET D’un ciel immense. QUI retient tout. Ou chacun est le puzzle de l’autre. La clé de voute est DE TRAVERS quand. QUAND nous nous sommes manqués de peu. Mourir. Comme ça MOURIR. Pour disparaître un jour et sans mémoire. Pauvre fil. Mon pauvre amour. Pourrie-moi. Cette couleur orange. QUE J’AI Dans le pied ou l’estomac remonte. J'aimerai être heureux. J’aimerai être ce cheval un peu fou pour courir dans ton ventre quand tes cheveux sont un peu fou dans la course folle du vent qui retient tout. MAIS RETIENS ça dans ton cou quand le cheval un peu fou mord ta peau et puis coule un peu de sang frais. MARQUE. Dans les bouquins dans les yeux dans la peau. La vie est une sale petite pute. Apprendre à rire de tout c’est PEINTURE. C’est le monde tel qu’il est devant nous. Court court plus vite. J'ai retrouvé mes jambes d'enfant. Sur l’A4. UNE autoroute où le soleil n’était pas jaune. Quand on ferme les yeux. Nos mains ne sont plus là pour nous recoudre et s’en va. C’est dégueulasse. Un viol. Une dentition. Je regarde un livre posé à l’envers. J’ai de la cire plein le cul. Tes dents tomberont toutes seules… Entre tes jambes. J’aime TOUCHER le silence irréel du PLAFOND mon corps est le seul obstacle que je connaisse un peu, l’objet de toutes mes obsessions. JE VEUX VOIR LE CIEL. Je veux noir. LA DESCRIPTION DE L'OBJET - JUSQU'A SON EPUISEMENT_TOTAL. Qu'un rectangle divise-moi qu’un rectangle. INVISIBLE & creux. Pendant qu’un homme de petite taille. Découpe une feuille de papier avec une paire de ciseau. BLEU. C’est la description d’une chambre elle est nue devant toi elle est nue et le soleil tombe. Ensoleillé. QUE VOIS-tu. Le blanc coupé en deux. [ Un train. ] comme UNE ONDE DE CHOC sous la peau… pendant que tu m’avales. Dans la petite boite noire. Il y a Des amalgames dentaires. AVEC le FILS. SuSpEnDu. AU PLAFOND COMME J A N U S [...] il y a des dents. IL Y A LA PORTE DES ENFERS, C’est ainsi que se passe tous les suicides. MEMe Vieille merde devant toi les fleurs de la fenêtre sont mortes...ET TOI AUSSI tu es vivante. ALORS ma mère refait un enfant avec moi pour tuer le monde tel qu’il est dans mes bras dans mon ventre. Un livre ouvert sur la mort. TAIT-TOI. un livre ouvert sur la mort tait toi j'aime bien quand tu te tais. J’aimais bien plus le silence que les hélicoptères apaches de mon enfance pour écrire avant le signal qu’il faut se taire une bonne fois pour toute avant d’aimer la mort telle que nous est donné la vie, alors tais-toi recommence

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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