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14 mars 2020

qu'est-ce qu'on est venu faire, tous les deux

qu'est-ce qu'on est venu faire, tous les deux dans le parc, autour des arbres, regarder l'eau claire, tourner autour, avec ton bouquet de fleurs, dans les bras, mais peut-être, qu'une ondé nous échappe, il est quelle heure, quand tu dis, suis-moi dans l'eau verte, les vagues nous ramènent, quand c'est blanc, quand ça déborde, ça laisse des traces, du sel, où nous marchons, pieds nus, la tête en l'air, on lève les bras, le bord de l'eau, nous accompagne, suis-moi sur la plage, le soleil nous attend là-bas, regarde le en face, se défaire du dernier nuage, encore quelques kilomètres, une ligne droite, et le ciel tombera, sur nos épaules, comme une grappe, comme ta course, avec les fleurs dans les bras, regarde comme tout est calme, autour de nous, plus rien ne bouge, jusqu'à la tombé du soir, pour être deux, quand le ciel tombera, le long d'une plage, dans un parc, n'importe où, dans tes bras, dans l'eau, dans toi, au monde, pour t'embrasser, sur chaque endroit, où le soleil tombe 

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Commentaires
E
Et joyeux confinement surtout
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I
UN AMOUR EN FLEUR
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I
dis-moi, qu'est-ce qu'on est venu faire, tous les deux dans le parc, au loin regarde, il y a de l'eau claire, autour des arbres, on ira tout droit, mais peut-être, qu'une ondé nous échappe, du corps, et du reste, les mains levées, il est quelle heure, quand tu dis, suis-moi jusqu'à l'eau verte, je cours avec des fleurs, dans les mains, derrière toi, pendant que des vagues nous ramènent, du linge blanc, des traces avec du sel, nous marchons, pieds nus, la tête en l'air, on lève les bras, le bord de l'eau, nous accompagne, suis-moi sur la plage, car le soleil nous attendra, regarde le bien en face, se défaire d'un dernier nuage, encore un, et puis on fera le tour, au dernier kilomètre, une ligne droite, un segment, et le ciel tombera, sur nos épaules d'enfant, comme une grappe de raisin, tombée sur la terre fraîche, un pétale, ta course bleue, avec des fleurs, dans les mains, qui ne s'arrête pas, regarde comme tout est calme, autour de nous, plus rien ne bouge, jusqu'à la tombé du soir, pour être deux, quand le ciel tombera, le long de la plage, dans un parc, dans le sel, n'importe où, dans tes bras, dans l'eau, dans toi, au monde, pour être vivant, je t'embrasse, sur chaque endroit, où le soleil tombe
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V
dis-moi, qu'est-ce qu'on est venu faire, tous les deux dans le parc, autour des arbres, au loin, il y a l'eau claire, on ira tout droit, mais peut-être, qu'une ondé nous échappe, du corps, du reste, les mains levées, il est quelle heure, quand tu dis, suis-moi jusqu'à l'eau verte, je cours avec des fleurs, derrière toi, pendant que des vagues nous ramènent, du linge blanc, du sel des traces, nous marchons, pieds nus, la tête en l'air, on lève les bras, le bord de l'eau, nous accompagne, suis-moi sur la plage, car le soleil nous attendra, regarde le en face, se défaire d'un dernier nuage, encore un, et puis on fera le tour, le dernier kilomètre, une ligne droite, et le ciel tombera, sur nos épaules, comme une grappe de raisin, sur une terre fraîche, un pétale, ta course bleue, avec des fleurs, dans les bras, qui ne s'arrête pas, regarde comme tout est calme, autour de nous, plus rien ne bouge, jusqu'à la tombé du soir, pour être deux, quand le ciel tombera, le long de la plage, dans un parc, dans le sel, n'importe où, dans tes bras, dans l'eau, dans toi, au monde, pour t'embrasser, sur chaque endroit, où le soleil tombe
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