22 mai 2012
Szigetvár Des coupes franches. Dans la terre
Szigetvár Des coupes franches. Dans la terre déchiquetée. Nous tiens en haleine. Du matin au soir. C’est au centre de nous-même. Que tout ce passe. Plus un bruit. Plus qu’une heure à attendre. Pour savoir si je suis encore en vie. Je respire pas. Je respire....